Chiaki Kiyomizu(Validée,avec chance XD)

Nom : Chiaki Kiyomizu

Age: 15 ans

Sexe: féminin

Élément: Fiire

Histoire : Chiaki est une enfant profondément désirée par son père et sa mère. Lorsqu’elle est née, ses parents ont tout de suite posé leurs yeux protecteurs sur elle, avec un sourire illuminant leurs visages. La petite fille a reçu tout l’amour de ses parents. Chaque jour était un moment de pur bonheur passé en famille, et pour rien au monde elle n’aurait abandonné cette vie.
Quand Chiaki atteint l’âge de trois ans, sa mère tomba gravement malade, au point de perdre totalement la mémoire le temps que dura son séjour à l’hôpital. La petite eut beaucoup de mal à aller voir sa mère se faire soigner, car elle ne la reconnaissait pas et la traitait comme une inconnue. Heureusement, son père s’occupait beaucoup de son enfant, même si lui-même éprouvait beaucoup de souffrance. A l’école, les camarades de Chiaki la rejetaient et se moquaient d’elle, à cause de la couleur de ses cheveux : blancs. Mais la petite fille n’en avait que faire. Le blanc est signe de pureté, le blanc est signe de sagesse, le blanc est signe de guérison, aussi… Avec ses cheveux, elle allait peut-être aider sa mère à guérir rapidement et à retrouver la mémoire… Du moins, elle l’espérait. Mais plus les jours passaient, et plus Chiaki avait du mal à croire que sa mère guérirait un jour.
A l’âge de six ans, sa mère n’étant toujours pas sortie de l’hôpital, la petite vivait toujours avec son père. L’hiver était rude et le salaire du seul parent ne suffisait pas à l’entretien de la maison, aux impôts, à la nourriture… C’est ainsi qu’un jour, le foyer de Chiaki et son père s’est retrouvé sans chauffage. Une grippe atteint alors le parent et le cloua au lit. La petite pleurait sans cesse, l’état de son père se déplorant de jour en jour, mais elle refusait de baisser les bras, et, chaque matin, elle se levait pour aller travailler. Ayant arrêté l’école pour gagner sa vie et pouvoir acheter des médicaments à son père, elle cirait les chaussures des gens. Elle était encore très jeune, certes, mais avait appris à faire cela avec son père.
Malheureusement, tous ces efforts n’ont pas été suffisants et la maladie emporta le père de la petite Chiaki le matin du premier jour du printemps. Pour l’enfant, le monde s’écroulait. Cela faisait maintenant trois ans que sa mère était à l’hôpital et qu’elle ne se souvenait pas de sa fille. La mort de son mari ne l’affecterait sûrement pas, puisqu’elle ne savait plus qu’il existait…
La petite fille a été obligée de quitter la maison, et a été placée dans un foyer d’accueil. Un orphelinat… Quel désespoir… Chiaki se renfermait sur elle-même, ne voulant adresser la parole aux autres. Elle refusait de s’ouvrir à de nouvelles relations et de s’attacher aux autres personnes. Maintenant qu’elle avait perdu ses deux parents, elle avait peur pour tout le monde.
Puis vint le jour où la petite fille découvrit réellement ses pouvoirs. Elle avait alors sept ans. L’orphelinat la mit dehors ; une fillette de contrôlant pas encore d’étranges pouvoirs de feu pouvait être très, même trop dangereuse. Chiaki a cependant réussi à trouver une famille d’accueil qui ignorait encore ses pouvoirs. La petite fille se trouva alors un endroit secret pour s’entraîner à contrôler ce pouvoir dévastateur. Elle n’eut alors aucun mal à cacher cette particularité à sa famille d’accueil. Même si elle se renfermait toujours sur elle-même, les gens de cette famille étaient très gentils avec elle, si bien qu’elle commençait à s’attacher à eux… C’est justement cela qui lui fit peur, et à l’âge de quinze ans, elle quitta la maison, émue, pour se diriger vers Hallow School, là où personne ne la rejetterait pour ce qu’elle est… Malheureusement, la jeune fille a de mauvaises habitudes…

Caractère: Chiaki n’adresse la parole à quelqu’un que très rarement. Elle a peur de se faire des amis… Elle maîtrise extrêmement bien son pouvoir et peut déclencher sans problème de superbes et gigantesques rafales de feu. Elle possède aussi un sabre qu’elle a toujours sur elle. Elle le manie aussi très bien et ne s’en sépare jamais.

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